


Faut-il pratiquer l’entraînement à jeun ?
Faut-il pratiquer l’entraînement à jeun ?
Par Manuel – OVERSTIM.s
Quels sont les risques ou bénéfices de l’entraînement à jeun ? Quelles règles faut-il respecter ? Existe-t-il des produits de nutrition sportive pour l’entraînement à jeun ? Voici les raisons pouvant orienter un sportif vers cette pratique ainsi que les effets de ce type d’entraînement sur l’organisme.
Pour quelles raisons des sportifs s’entraînent-ils à jeun ?
Il existe plusieurs raisons justifiant cette pratique des sportifs :
- Un objectif de diminution de la masse graisseuse en favorisant la lipolyse (1) comme métabolisme énergétique, notamment en vue d’une perte de poids.
- Une question de facilité : ne pas devoir appliquer la règle des 3 heures minimum de digestion du petit déjeuner traditionnel avant d’aller s’entraîner.
- Une adaptation du corps à un régime cétogène (2) ou low carb chez quelques pratiquants les plus expérimentés.
Quels sont les effets secondaires de l’entraînement à jeun sur l’organisme ?
L’entraînement à jeun se pratique en général le matin. Le dernier repas a donc été consommé la veille au soir. Pour un entraînement au petit matin le corps est depuis plus de 12 heures sans apports alimentaires et se trouve dans un état de jeûne. En voici les conséquences :
- Conséquence à long terme. Si l’entraînement à jeun est pratiqué sur de trop longues périodes ou à une fréquence trop élevée, le sportif s’expose à un risque accru de :
- fonte musculaire
- fragilité osseuse
- fatigue
- carences
- Dégradation des BCAA musculaires. Le cortisol (hormone) va puiser des BCAA (acides aminés ramifiés : Leucine, Isoleucine, Valine) dans votre masse musculaire. Ces BCAA vont aider à fournir de l’énergie aux muscles. Ce catabolisme musculaire (3) va engendrer la production de déchets azotés qui sont néfastes pour l’organisme (4). Ils peuvent donner lieu à :
- des inflammations des tissus
- une usure des tendons
- une fragilité des articulations
- un risque d’engendrer une blessure
- Diminution des capacités à l’effort et une augmentation du risque de malaise hypoglycémique. A jeun, le corps est privé de sa principale source d’énergie directement utilisable : le glucose. Pour les muscles cela ne pose aucun souci car ils vont être alimentés par la transformation des lipides et des BCAA en énergie. Ce phénomène de transformation des lipides et des BCAA en énergie consomme de l’énergie et ne se fait pas dès le moment du départ, ce qui peut donner lieu à un risque d’hypoglycémie.
Les risques de l’entraînement à jeun
Cette sortie de la zone de confort permet à certains sportifs de haut niveau de se mettre en difficulté afin de pousser leur organisme dans leurs derniers retranchements afin de progresser. Cela comporte des risques :
Fragilisation de l’intestin suite à l’effort : par le phénomène d’ischémie-reperfusion. Lors de l’effort, le sang est prioritairement apporté au muscle au détriment de l’appareil digestif mis au repos par le jeûne. Lors de la reprise alimentaire, la reperfusion sanguine importante au niveau de l’estomac apporte de l’oxygène, des radicaux libres, des déchets azotés (produits lors de l’effort à jeun), contre lesquelles les cellules gastro-intestinales ne sont pas à même de lutter. Les cellules sont donc exposées à un risque de vieillissement prématuré.
Un risque accru de déshydratation : durant la nuit, le corps se déshydrate (c’est pourquoi on pèse toujours moins lourd sur la balance au petit matin avant de déjeuner). On peut le vérifier également par la couleur foncée des urines au réveil. Sans être réhydraté correctement avant d’aller pratiquer votre sport, vous augmentez le risque de déshydratation et de diminution de la performance ainsi que de blessure.
L’entraînement à jeun augmente vos risques de blessures – Overstim.s
Les précautions à respecter avant de partir à jeun
Consommer un repas complet et équilibré la veille au soir composé d’un apport protéique cuit de manière simple : filet de poulet/dinde à l’eau ou vapeur, œufs mollets, omelette, rôti ou côte de porc sans la partie grasse, jambon découenné dégraissé… accompagné de féculents à index glycémique bas comme le riz basmati, la quinoa, les pâtes semi-complètes al-dente et des légumes mûrs et digestes comme la salade verte, la courgette, les haricots verts extra fins…
Un fruit bien mûr en dessert accompagné d’une portion normale de produit laitier (125g) : yaourt nature, fromage blanc ou yaourt végétal selon votre tolérance digestive.
Nos conseils essentiels pour l’entraînement à jeun
Au réveil pensez à vous hydrater. Boire dans l’heure avant le départ environ 300 à 500ml d’eau est un minimum. En pratique, buvez par petites gorgées en prenant votre temps, 2 verres d’eau accompagnés d’un petit café ou d’un petit thé peu infusé (3-4min).
Il est essentiel de boire des petites gorgées réparties sur 1 heure minimum et d’éviter de boire un volume trop important de liquide en une seule fois avant le départ. La vidange gastrique n’ayant pas le temps de se réaliser, si vous buvez un volume trop important en peu de temps, vous risquerez de ressentir une gêne au niveau de l’estomac voire des nausées à l’effort.
Consommer la boisson énergétique HYDRIXIR ANTIOXYDANT durant l’effort. 1 à 2 bouchées pleines toutes les 5 à 10 minutes. Apportant des glucides, vitamines et sels minéraux, la boisson évitera la déshydratation ainsi que l’hypoglycémie. Pas d’inquiétude, les glucides contenus dans la boisson vous assurerons l’apport énergétique nécessaire à votre effort. Ils ne vont pas limiter la lipolyse car ils ne seront pas apportés en quantité suffisante.
Vous pouvez donc courir avec une boisson et un objectif de perte de poids. Ils suffiront juste à prévenir d’une hypoglycémie et vous réaliserez un entraînement dans de meilleures conditions (plus long, plus intensif car mieux hydraté). Cela augmentera votre résistance musculaire ainsi que les capacités d’utilisation de la filière lipidique.
Alors, l’entraînement à jeun, oui ou non ?
Cette pratique est réservée aux sportifs confirmés. Cela vous expose à des risques et peut avoir plus d’effets négatifs que positifs. Ces risques sont augmentés si l’entraînement est prolongé (plus de 1 heure). L’entraînement à jeun doit donc se pratiquer sur de courtes périodes. Retenez qu’il a des effets délétères pouvant survenir sur l’organisme au long terme. Veillez à demander conseil à votre médecin du sport avant de démarrer ce type de pratique.
Avant de partir à jeun, il y a tout de même un certain nombre de précautions à respecter qui auront les buts suivants :
- Diminuer le risque de malaise, blessures, déshydratation
- Ne pas s’entraîner à jeun sur des périodes trop longues ni à une fréquence élevée (1 à 2 entraînements maximum par semaine à jeun).
- Maintenir l’effet favorable de la lipolyse lors de l’effort
- Diminuer l’aspect protéolytique (3) de l’effort à jeun et donc la libération de déchets azotés au sein de l’organisme
Après l’entraînement
La prise du petit déjeuner peut se faire normalement après l’entraînement en veillant à attendre environ 30 minutes. Passé ce délai, la reperfusion sanguine se fait des muscles vers les organes digestifs, le temps d’une douche par exemple.
Nos conseils après l’entraînement :
- Un apport en glucides simples et complexes
- Un petit apport en protéines contenant des acides aminés essentiels
- Un apport en lipides
- Une source liquide pour bien vous réhydrater
GATOSPORT & SPORDEJ : les solutions énergétiques, digestes et pratiques. Ces petit déjeuners composés de glucides simples et complexes, de protéines et de lipides forment un repas idéal après un entraînement. Vous pouvez les consommer sur le trajet pour vous rendre au travail et bénéficier d’un gain de temps et de praticité appréciables.
BCAA : Composé d’acides aminés essentiels pour le sportif, ils peuvent se consommer avant et après votre sortie à jeun. Les BCAA OVERSTIM.s sont conseillés lors des périodes d’entraînement intensifs.
Notes et références :
(1) La lipolyse est la voie métabolique d’utilisation des réserves lipidiques (graisses) du corps afin de fournir de l’énergie.
(2) Le régime cétogène consiste à avoir une alimentation exclusivement protido-lipidique au détriment des glucides (30-40g maximum par jour).
(3) Le catabolisme musculaire ou protéolyse correspond à la dégradation de la masse musculaire.
(4) Les déchets azotés acidifient le sang, rendant l’organisme plus sensible aux inflammations des tissus et donc aux blessures.
(5) Branched-chain amino acids and central fatigue. J Nutr.2006 Jan;136(1 Suppl):274S-6S. doi: 10.1093/jn/136.1.274S. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16365097

7 erreurs à éviter à l’entrainement
7 erreurs à éviter à l’entrainement
Que vous vous entraîniez pour être en forme, rester en bonne santé ou vous pousser plus loin … voici 7 erreurs à éviter absolument.
1- S’entraîner à jeun
L’ entraînement à jeun est fortement déconseillé, vous pouvez mettre votre organisme à rudes épreuves et risquez :
- L’hypoglycémie : même si l’effort est de faible intensité, vous risquez de faire un malaise pendant ou peu après l’entrainement à cause du manque de sucre présent dans le sang. En effet, sans apport énergétique votre corps risque de manquer de carburant et n’a plus les réserves nécessaires pour votre pratique sportive. Il faut être très vigilant surtout si vous avez mangé insuffisamment la veille au soir et/ou si vous avez eu une grosse séance d’entraînement la veille.
- Une consommation extrême des protéines : à jeun, votre corps cherche des sources d’énergie partout. Il consomme donc les protéines présentes dans vos muscles, mais également dans votre foie, vos reins, vos tissus … ce qui peut s’avérer dangereux pour votre santé.
- La blessure : votre cerveau a besoin d’énergie pour fonctionner correctement. Il est aux commandes de votre corps, mais sans carburant, il a du mal à répondre efficacement à toutes les sollicitations et vous ressentez une baisse de vigilance. Vos réflexes sont amoindris et vous risquez plus facilement de vous blesser (chutes, etc…).
- L’épuisement total : sur le long terme, une pratique sportive à jeun peut conduire à un état de fatigue chronique. Vous mettez alors votre corps à rudes épreuves pour maintenir vos fonctions vitales, alors qu’il ne dispose que de peu d’énergie. Fournir un effort vous deviendra de plus en plus pénible.
Pour toutes ces raisons, nous vous conseillons de consommer une collation énergétique avant un entraînement comme le Spordej.
2- Prendre un repas trop riche avant un entraînement
On ne le répétera jamais assez : ne mangez pas trop avant votre entrainement. Comme nous l’avons expliqué précédemment, il vous faut du carburant pour réaliser votre séance. Mais un plat trop copieux ou trop riche ne serait pas digeste et pourrait vous causer des problèmes gastriques comme des crampes ou des douleurs intenses au niveau des côtes. Évitez les aliments frits, gras ou trop sucrés. Les aliments avec trop de fibres ne sont pas non plus recommandés.
- Vous êtes à la maison ou vous vous entraînez sur le temps de la pause déjeuner, Spordej est la collation idéale. Rapide et facile à préparer, elle vous apporte une énergie progressive.
- Vous vous entraînez à la sortie du bureau, les barres OVERSTIM.s sont des collations énergétiques, saines et ultra-gourmandes parfaites pour votre séance.
3- Ne pas s’échauffer
Quelque soit la pratique sportive, l’échauffement représente une phase incontournable avant tout départ. Il permet une hausse de la température du corps, de réchauffer les muscles, de préparer le cœur et de vous rapprocher progressivement de l’état physique dans lequel vous vous trouverez lors de la pratique de votre activité sportive. Vous échauffer vous permettra également de diminuer les blessures et d’optimiser vos performances.
4- Hyperhydratation ou déshydratation
Dans le sport, on parle souvent de déshydratation pourtant l’hyperhydratation est tout aussi nocive. Il est inutile de boire 1 litre d’eau avant votre sortie, vous vous sentirez mal avec un estomac qui fait des remous.
Lors de vos sorties longues de plus de 3-4 heures vous risquez aussi une hyponatrémie. Une surconsommation d’eau diluera le sodium présent dans l’organisme. Les cellules chercheront donc à absorber plus d’eau pour absorber plus de sodium. Vous risquerez alors l’apparition de malaises, d’œdèmes et de troubles du comportement.
Une déshydratation peut aussi avoir des conséquences très graves sur le sur la santé du sportif (altération des capacités intellectuelles, vertiges, troubles musculaires et tendineux, troubles digestifs, troubles cardiaques, coup de chaleur …). Elle altère aussi les performances du sportif.
- Boire régulièrement tout au long de la journée.
- Pendant votre effort, buvez sans excès : 1 à 2 bouchées pleines toutes les 5 à 10 minutes.
- Ne pas trop boire la veille ou les heures précédant votre effort de longue durée. 500 ml maximum dans l’heure précédant la course (2 verres de table).
- Préférer une boisson de l’effort, comme Hydrixir, apportant du sodium (idéalement 460 mg de sodium par litre), et isotonique. Elle permettra de limiter le risque d’hyponatrémie.
Si vous souhaitez plus d’informations sur l’hydratation, consultez notre article sur l’importance de l’hydratation chez le sportif.
5- Sauter la phase de retour au calme
Terminer un entraînement à son maximum est une mauvaise idée. Il faut, au contraire, diminuer le rythme sur les dix dernières minutes pour abaisser sa fréquence cardiaque et favoriser la récupération musculaire. Le retour au calme permet d’éliminer l’acide lactique accumulé dans les muscles et d’éloigner crampes et courbatures. Plus votre séance aura été intense, plus il est conseillé de finir lentement. Vous pouvez terminer votre séance par quelques étirements légers.
6- Oublier de refaire le plein d’énergie après son entraînement
Durant votre séance, vous avez épuisé beaucoup d’énergie, brûlé des calories et consommé les réserves de votre corps en faisant travailler vos muscles, vos tendons et vos ligaments. Il faut maintenant refaire le plein de carburant pour limiter la fatigue et pouvoir enchaîner les séances.
- Pour optimiser votre récupération, nous vous conseillons d’opter pour la Boisson de récupération Elite. L’association de ses protéines de lactosérum (Whey), de BCAA, de glutamine et de son complexe glucidique fait de la Boisson de récupération Elite une boisson à assimilation rapide, pour une récupération des plus efficaces. Vous pouvez ainsi enchaîner les séances d’entrainement plus facilement.
- Si votre prochain repas est éloigné, savourez une Barre Protéinée OVERSTIM.s. A la fois gourmande et riche en protéines, elle vous aidera à mieux récupérer.
7- Ne pas accorder de temps de repos à votre corps
Bien souvent le sportif d’endurance néglige la phase de récupération, pourtant cette dernière est indispensable, elle fait partie intégrante de l’entrainement. Si vous ne respectez pas ces temps de repos, vous ne pourrez pas progresser ; pire vous pouvez régresser ou encore vous blesser. Ce moment privilégié permet à votre organisme d’assimiler le travail effectué au fil des séances et des semaines. Les pros misent toujours sur un entraînement de qualité plutôt qu’un volume important d’entraînements.

Comment gérer votre alimentation à l’entraînement ?
Comment gérer votre alimentation à l’entraînement ?
Pourquoi adopter une stratégie nutritionnelle à l’entraînement ? Comment choisir votre nutrition à l’entraînement ? Quelles erreurs faut-il éviter ?
Pourquoi adopter une stratégie nutritionnelle à l’entraînement ?
Si la nécessité d’une alimentation spécifique est généralement admise à l’occasion des compétitions, la nutrition sportive en période d’entraînement n’a pas toujours l’attention qu’elle mérite.
C’est pourtant elle qui conditionne à la fois la qualité de vos entraînements, la progression et surtout une meilleure récupération vous permettant d’enchainer les séances sans fatigue.
Un entraînement effectué dans les règles doit préparer le sportif aux efforts intenses de l’épreuve. Bien s’alimenter à l’entraînement vous aidera à progresser régulièrement et à améliorer vos performances.
Pourtant l’entraînement est très souvent réalisé sans nutrition. Un entraînement intensif est soumis aux mêmes contraintes qu’une épreuve.
La diététique à l’entraînement est l’une des clés de la réussite – OVERSTIM.s
Quels sont les risques de s’entraîner sans une nutrition sportive adaptée ?
Lors d’un entraînement « sans nutrition sportive » vous risquez :
- une déshydratation
- une perte minérale souvent importante et non compensée
- une « usure musculaire »
- une consommation plus ou moins importante de glycogène qui peut être conséquente dès le début d’un entraînement intensif.
Découvrez notre article dédié au glycogène pour mieux comprendre son importance chez le sportif.
Les sportifs ignorent généralement ces éléments. Il en résulte un blocage de la progression et une accumulation de fatigue. Vous allez comprendre comment la nutrition sportive peut vous aider à rentabiliser vos entraînement.
L’occasion de tester ses produits de nutrition sportive
Il arrive bien trop souvent que les sportifs cherchent des produits de l’effort le jour même de leur compétition. Il est pourtant essentiel de tester vos produits de l’effort à l’entraînement. Ainsi, vous habituez votre organisme à l’assimilation d’énergie pendant l’effort.
Déterminez la stratégie nutritionnelle du jour de votre épreuve à l’entraînement, au même titre que votre stratégie sportive !
L’entraînement est l’occasion idéale pour tester les produits que vous utiliserez le jour de la compétition – OVERSTIM.s
Quel petit-déjeuner (ou collation) consommer avant un entraînement ?
Quel que soit le sport pratiqué, votre dernier repas avant effort doit vous apporter une énergie performante et digeste pour aborder vos entraînements en pleine possession de vos moyens.
Spordej est le petit-déjeuner sportif idéal vous apportant une énergie progressive et une haute digestibilité. Rapide et facile à préparer, Spordej se consomme avant un entraînement matinal, à l’heure du déjeuner ou en fin de journée.
Ces habitudes sont indispensables pour donner à l’entraînement son rôle constructif.
Quelle nutrition sportive pendant un entraînement ?
L’hydratation est un geste essentiel pour le sportif !
La boisson énergétique doit être votre premier réflexe à l’entraînement. Le choix de la boisson est évidemment déterminant pour la qualité de vos entraînements. Les boissons énergétiques OVERSTIM.s vous apporteront une hydratation optimale et maintiendront vos performances pendant l’effort. La boisson Hydrixir antioxydant constitue le carburant optimal pour un entraînement de qualité.
Selon la durée des séances, l’hydratation pourra être renforcée par quelques compléments énergétiques tels que les Gel énergétiques et les Barres énergétiques OVERSTIM.s. On ne soupçonne pas les progrès qu’un entraînement soigné peut apporter sur l’ensemble d’une saison sportive !
Quelle est la meilleure boisson de récupération pour sportif ?
Développée spécifiquement pour optimiser votre récupération, Boisson de récupération élite est une boisson tout-en-un. Elle vous apporte tout ce dont vous avez besoin pour enchaîner des entraînements difficiles sans vous fatiguer :
- 56% de glucides rapidement assimilables
- 35% de whey protéines (protéines de lactosérum) à haute valeur biologique*
- 5,4% de BCAA natifs
- des électrolytes (sodium, magnésium, calcium)
- des vitamines (B1, B6, C)
* La Valeur Biologique (VB) d’une protéine alimentaire est une mesure de la proportion de cette protéine qui est incorporée dans les protéines de l’organisme. Par exemple la VB de la whey est de 96 ce qui signifie que 96% de protéines apportées par la whey sont assimilées et utilisées par l’organisme.
Gérer son alimentation en phase d’entraînements intensifs
Une phase d’entraînement dite « intensive » peut apparaître 2 à 4 fois dans l’année, sur des périodes allant de 3 semaines à 2 mois maximum. Durant cette phase, le sportif demande à son organisme un effort considérable. Une telle phase peut entraîner une accumulation de fatigue et même donner lieu à un syndrome de « surentraînement ».
Nous vous conseillons d’augmenter vos apports en calories et en protéines. OVERSTIM.s propose une large gamme de collations de récupération. Il est aussi possible de s’orienter vers des compléments comme dans le pack entraînements intensifs. Vous passerez alors cette période sans accumuler de fatigue pour le jour J.
Le pack entraînements intensifs OVERSTIM.s est idéal pour une préparation physique difficile

Comment atteindre votre poids de forme et améliorer vos performances ?
Comment atteindre votre poids de forme et améliorer vos performances ?
Par Manuel – OVERSTIM.s
Que ce soit pour la performance ou l’esthétisme, la perte de poids est un sujet qui intéresse tous les sportifs. Comment calculer votre poids de forme ? Comment perdre vos kilos sans impacter votre performance ? Quels aliments privilégier pour gérer son poids ? Suivez les conseils de notre coach pour atteindre vos objectifs.
Comment calculer votre poids de forme ?
Le poids le plus bas n’est pas nécessairement votre poids de forme. Bien au contraire, un taux de masse grasse trop bas peut être préjudiciable à la performance (santé plus fragile, faible masse musculaire…).
Le poids « idéal » correspond à votre taille sans le premier mètre moins 10 kg. Par exemple, pour une personne de 1m70, le poids de forme idéal devrait être compris entre et 60 kg (-10).
Pour surveiller votre poids, pesez-vous une fois par semaine, le matin à jeun par exemple le dimanche. En effet, un peu déshydraté après l’effort, vous pouvez peser jusqu’à 2 kg de moins ! Évitez de vous fier au poids des sportifs professionnels, ceux-ci atteignent parfois des taux de masse grasse trop bas.
Comment perdre quelques kilos sans impacter la performance ?
Afin de perdre du poids, vous devez avoir un apport en calories légèrement inférieur à vos besoins quotidiens. Diminuez vos apports entre 200 et 400 calories par rapport à vos besoins.
Donc limitez simplement pendant une période :
- L’alcool 1 à 2 verres le samedi et le dimanche seulement
- Les aliments gras (charcuterie, fromage, beurre, crème, sauces, pâtisseries et viennoiseries)
- Les aliments sucrés (gâteaux, pâtisseries, bonbons, chocolat, boissons sucrées, sucre ajouté dans l’alimentation y compris le miel)
Augmentez vos apports en :
- Légumes verts (haricots verts, brocolis, courgette, asperges, artichauts…)
- Crudités (carottes râpées, tomates, concombres, asperges…)
- Féculents complets (semoule, pâte, riz, pain complet)
- Viandes maigres (filet mignon, blanc de dinde ou de poulet, filets de poisson maigre, steak haché 5%…)
- Produits laitiers faibles en matière grasse (fromage blanc 0%, yaourt nature, Skyr, lait écrémé…)
Une perte de poids lente est le garant d’une démarche sérieuse, sans risques de carences et d’accumulation de fatigue. Fixez-vous une perte de poids de 500 grammes par semaine. Les pertes de poids rapides traduisent une déshydratation et une fonte musculaire et non une perte de masse grasse.
Quelle est la bonne répartition en glucides, lipides et protéines ?
Les restrictions énergétiques entraînent une dégradation des protéines musculaires. Pour maintenir votre masse musculaire, augmentez vos apports en protéines et veillez également à un bon apport en BCAA (acides aminés branchés : valine, leucine, isoleucine).
Un ratio type en macronutriments pendant une période de perte de poids peut être :
- 15% de protéines à faible teneur en matière grasse :
- Viande blanche
- Viande rouge à moins de 8% de matière grasse
- Blancs d’œufs
- Produits laitiers allégés
- Protéines végétales (légumineuses, céréales complètes)
- 30% de lipides en favorisant les graisses végétales :
- Limiter les produits transformés
- Huile d’olive pour les cuissons
- Huile de colza pour les assaisonnements
- Limiter le beurre, le fromage, les pâtes à tartiner, les pâtisseries/viennoiseries ainsi que la charcuterie
- 55% de glucides à faible impact glycémique :
- Céréales complètes
- Pain complet, aux céréales, au seigle
- 3 Fruits maximum par jour
- Confiture allégée
- Limiter les produits transformés, les sucres raffinés, en dehors des entraînements
Quels conseils en pratique ?
- manger des légumes midi et soir, crus et/ou cuits
- consommer 2 à 3 produits laitiers maigres par jour (fromage blanc, yaourts à 20 % de matières grasses maximum)
- éviter la consommation d’aliments gras, de friture, de plats en sauce
- utiliser un peu d’huile d’olive pour les cuissons
- privilégier les viandes maigres, volaille, poisson
- supprimer les charcuteries
- limiter la consommation de fromage à 1 fois par jour
- éviter la consommation de pâtisseries, viennoiseries, bonbons…
- supprimer l’alcool
- consommer après la séance une Boisson de Récupération riche en glucides et en protéines
- prendre le temps de manger (au minimum 30 minutes) et bien mâcher les aliments
- favoriser la prise de 4 repas par jour (vous pouvez fractionner jusqu’à 6 repas) : cela stimule le métabolisme tout en diminuant la faim et le grignotage
- essayer de manger plus léger le soir.
L’intérêt d’augmenter vos apports en protéines
L’augmentation des apports en protéines à l’avantage de préserver votre masse musculaire mais également de vous procurer un sentiment de satiété pendant la phase de perte de poids. Les sportifs d’endurance peuvent donc augmenter leur apport en protéines pendant une période.
Ne dépassez cependant pas les 1,8 grammes de protéines par kilo par jour. Si votre objectif est de 60 kg, l’apport quotidien en protéine devra être de 60 x 1,8 = 108 grammes.
Enfin si vous suivez un régime alimentaire riche en protéines, buvez suffisamment d’eau tout au long de la journée. Il faut boire au minimum 1.5 L d’eau pour bien éliminer les déchets produits par la « digestion » des protéines. Idéalement, visez un volume d’eau de 3 litres par jour.
Votre allié en phase de perte de poids
Le COMPLEMENT AFFÛTAGE OVERSTIM.s contient du Glucomannane de Konjac qui contribue à la perte de poids dans le cadre d’un régime alimentaire. Une cure de 15 jours renouvelable peut vous aider à atteindre votre poids cible.


Comment s’alimenter avant, pendant et après l’entrainement ?
Comment s’alimenter avant, pendant et après l’entrainement ?
Par Manuel – OVERSTIM.s
Comment s’alimenter avant l’entraînement ? Que faut-il consommer pendant un effort ? Quelle est le meilleur repas à prendre après un entraînement ?
Quels avantages d’une bonne alimentation en période d’entrainement?
Une bonne alimentation à l’entrainement prépare l’organisme à l’épreuve. Elle vous maintien en forme durant cette période pour mieux enchaîner les séances, sans fatigue. Un entrainement efficace doit préparer le sportif aux efforts intenses de l’épreuve. La nutrition vous aidera à progresser régulièrement, améliorer vos performances et vos capacités personnelles.
En cas de déshydratation et d’absence ou de mauvaise alimentation :
- Le sportif peut avoir perdu le quart de ses forces en 1 heure à peine.
- En moins de 2 heures vous perdez la moitié de vos possibilités.
- Les troubles gastro-intestinaux sont la principale cause d’abandon des courses de longue distance.
Il devient alors impossible de réaliser la séance à 100% : l’entrainement n’atteint pas son but. Pour être au top le jour J, il n’est bien sûr pas question que l’organisme arrive en état de fatigue, mal nourri, mal hydraté et carencé.
C’est grâce à une stratégie nutritionnelle bien élaborée au fur et à mesure des entraînements que l’on arrive en forme sur un objectif.
En somme, profitez de vos entraînements pour faire les « réglages » alimentaires du jour de l’épreuve. Tester plusieurs stratégies, les différentes saveurs et les ressentis physique et mental aux produits.
Votre alimentation en période d’entraînement sera la clé de votre réussite !
Comment bien vous alimenter AVANT un entrainement ?
Tout d’abord : ne pas s’entraîner à jeun. Surtout lors des dernières semaines de préparation. Nous vous expliquons tout dans notre article dédié : « Faut-il pratiquer l’entraînement à jeun? ». S’entraîner à jeun dans de mauvaises circonstances peut avoir plus d’effets négatifs que positifs sur votre préparation physique. Seul un sportif attentif, bien suivi et « éduqué » à l’entrainement à jeun peut optimiser la lipolyse (dégradation des lipides pour produire de l’énergie).
La sensation d’estomac «calé» rassure de nombreux sportifs, en leur donnant l’impression de pouvoir tenir plus longtemps et d’être plus efficace. Or, fournir un effort lorsque l’organisme est en pleine digestion entraînera inévitablement des perturbations digestives préjudiciables pour le sportif.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Le secret d’un entraînement réussi : consommer une collation digeste et énergétique. SPORDEJ est idéal pour le petit-déjeuner ou la collation avant effort. À consommer jusqu’à 30 minutes avant votre entrainement.
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Quelles sont les règles à suivre pour bien vous alimenter PENDANT un entrainement ?
Respecter les règles d’hydratation pendant l’effort. Boire dès le début de l’entrainement avant d’avoir soif, idéalement une bouche pleine toutes les 5 à 10 minutes. Ne dépassez pas 10-15 minutes sans boire, même par temps froid.
Choisir la boisson la plus adaptée à votre effort. Pour les entraînements inférieurs à une heure, privilégiez une boisson qui compense les pertes hydriques et minérales. La BOISSON ELECTROLYTES, sans apport énergétique et riche en vitamines et minéraux, est idéale pour les efforts courts ou dans des conditions climatiques chaudes.
Pour les entraînements entre 1 et 3 heures, boire par petites gorgées régulières la boisson HYDRIXIR ANTIOXYDANT (1). Cette boisson de l’effort apporte des glucides pour fournir de l’énergie, des vitamines et minéraux indispensables pour compléter les pertes sudorales. HYDRIXIR ANTIOXYDANT (1) est non acide et très bien tolérée même lors de séances à haute intensité.
Les boisson énergétiques OVERSTIM.s sont adaptées aux débutants comme aux sportifs confirmés
S’alimenter pendant l’effort. Selon la durée des séances, l’hydratation pourra être renforcée par quelques compléments tels que des gels et barres énergétiques. Cela vous permet aussi d’essayer les produits de l’effort avant votre compétition et d’habituer votre corps à recevoir de l’énergie durant votre pratique sportive.
Que faut-il consommer APRÈS un entrainement ?
Optimiser la récupération. Par son association de glucides et de protéines à assimilation rapide, la BOISSON DE RECUPERATION ELITE prise dans la demi-heure suivant la fin de l’entrainement recharge les réserves énergétiques et contribue à accélérer la régénération musculaire. C’est le complément indispensable des gestes de récupération « mécanique » comme les étirements ou massages.
La consommation de glucides et de protéines le plus tôt possible (dans les 30 minutes) après votre effort est essentielle afin de recharger votre organisme. C’est en effet juste après l’effort que la reconstitution des réserves énergétiques et la réparation musculaire sont optimales. Cet état durant lequel les cellules musculaires sont aptes à se régénérer au plus vite est appelé « fenêtre métabolique ». Privilégier certains aliments lors du prochain repas. Il est conseillé de concevoir un repas post-entrainement alcalin (c’est à dire anti-acide). Choisissez des aliments comme :
LE SAVIEZ-VOUS ?
- une purée de pommes de terre
- des carottes cuites vapeur
- les légumes secs : lentilles, haricots grains, fèves
- des céréales complètes
- des légumes verts cuits à la vapeur
- de la soupe de légumes
- une compote faite maison sans sucres ajoutés
Vous pouvez par exemple consommer des féculents (moitié de l’assiette) accompagnés de légumes cuits et de poisson blanc ou de viande blanche. Le dessert pourra être un produit laitier avec une compote. Enfin bien boire jusqu’au coucher, les dernières urines doivent être claires « comme de l’eau ».
La boisson de récupération élite OVERSTIM.s est la plus complète
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5 choses à savoir sur les barres protéinées
Par Manuel - OVERSTIM.s
Quelles sont les différences entre les barres protéinées et les barres énergétiques ? Quels sont leurs intérêts pour les sportifs ? Quand faut-il les consommer ?
1) Quelles sont les différences entre les barres protéinées et les barres énergétiques ?
Les barres énergétiques OVERSTIM.s sont une aide pour vos efforts intenses ou de longue durée. Leur richesse en glucides et en calories vous apporte une source d’énergie qui nourrit vos muscles pendant l’effort et qui vous aide à maintenir vos performances.
Les barres protéinées OVERSTIM.s sont quant à elles des barres enrichies en protéines animales (issues du lait) ou végétales. Elles offrent moins de glucides et de lipides que les barres énergétiques et sont plus utiles pour la récupération après un effort ou pour développer votre masse musculaire.
BARRES PROTÉINÉES VS BARRES ÉNERGÉTIQUES
Barres protéinées :
- Plus de protéines
- Moins de glucides et moins de calories
- Pour le développement et le maintien de votre masse musculaire
Barre énergétiques :
- Plus de glucides et de calories
- Moins de protéines
- Pour les efforts intenses ou de longue durée
2) Quels sont les intérêts des barres protéinées pour le sportif ?
Les sportifs ont des besoins relativement élevés en protéines afin d’entretenir leurs muscles.
Les protéines sont essentielles pour les sportifs et doivent faire partie du quotidien. Nous l’évoquons plus largement dans notre article sur les protéines et leurs intérêts chez le sportif.
Les barres protéinées OVERSTIM.s sont une source de protéines de bonne qualité que vous pouvez emporter partout. Elles se consomment facilement après un entraînement et vous aident à maintenir ou développer votre masse musculaire.
Le côté gourmand des barres protéinées OVERSTIM.s vous aide aussi à vous faire plaisir sans vous priver !
3) Quand consommer une barre protéinée ?
Les barres protéinées OVERSTIM.s se consomment idéalement dans les 30 minutes qui suivent la fin de votre entraînement. En effet, après l’effort, le corps ouvre la « fenêtre métabolique » et assimile les nutriments de manière idéale pour bien récupérer.
Les barres protéinées peuvent également se consommer pendant un effort de longue durée (plus de 3 heures) pour leur côté rassasiant et gourmand : trail, randonnée, cyclo, triathlon…
Elles se consomment aussi lorsque vous cherchez à vous affuter (perdre du poids) avec une alimentation plus faible en calories et plus riche en protéines.
Enfin, si vous avez un métier physique et que vous êtes sportif, vous pouvez consommer une barre protéinée au goûter avec un fruit pour une collation adaptée à vos besoins.
4) Quels sont les avantages des barres protéinées ?
Les avantages :
- Leur apport en protéines de hautes qualités
- Elles sont adaptées à l’alimentation du sportif
- Leur côté gourmand et équilibré
- Pratiques, elles se transportent partout avec vous