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L’intérêt des BCAA pour les sportifs

L'intérêt des BCAA pour les sportifs

Les BCAA (Branched Chain Amino Acids ou acides aminés ramifiés en français) sont 3 petites molécules : l’isoleucine, la leucine et la valine qui sont des sous unités des protéines Les acides aminés à chaîne ramifiée, ou BCAA, sont essentiels pour les athlètes. Ils jouent un rôle clé dans la récupération musculaire, la réduction de la fatigue et l’amélioration des performances.

A quoi servent les BCAA ?

Les BCAA sont donc les principales sous-unités qui forment nos protéines musculaires. Ces BCAA aident à synthétiser les protéines qui vont aider à la récupération et au maintien de notre masse musculaire. Ils sont donc tout à fait indiqués en phase de récupération juste après une sortie ou lors d’une phase d’entraînements intensifs.

Comment fonctionnent les BCAA au niveau de l’organisme ?

On sait que le muscle en activité se dégrade. Les fibres se contractent et se relâchent continuellement, de manière intensive et répétée. Les fibres les plus fragiles finissent par être détruites : c’est ce que l’on appelle le catabolisme musculaire à l’effort. Lorsque les fibres sont détruites, elles libèrent principalement de la leucine et en plus petites quantités de la valine et de l’isoleucine, nos 3 fameux BCAA.

Sur une période de préparation d’une cyclosportive, d’un marathon ou d’un triathlon longue distance par exemple, il est coutume de terminer les derniers mois de préparation avec une accumulation de fatigue musculaire importante. C’est donc à ce moment que la cure de BCAA prend tout son sens.

Récupération musculaire accélérée

Les BCAA, composés de leucine, isoleucine et valine, sont cruciaux pour la réparation et la récupération musculaire.

Après un exercice intense, les muscles subissent des micro-lésions. Les BCAA aident à réparer ces dommages, favorisant ainsi une récupération plus rapide. Cela est particulièrement bénéfique pour les athlètes soumis à des entraînements fréquents et intenses.

Rôle de la leucine

La leucine, en particulier, stimule la synthèse protéique musculaire. Ce processus est vital pour la reconstruction musculaire. Des études montrent que la supplémentation en leucine après l’entraînement accélère ce processus, entraînant une récupération plus rapide et une réduction des douleurs musculaires.

Importance de l’isoleucine et de la valine

Bien que la leucine soit souvent mise en avant, l’isoleucine et la valine jouent également un rôle important. Elles contribuent à réguler la glycémie et à assurer un apport énergétique stable pour les muscles durant et après l’effort, ce qui est crucial pour une récupération efficace.

Réduction de la fatigue

L’une des grandes qualités des BCAA est leur capacité à nous aider à nous sentir moins fatigués pendant et après l’exercice.

Quand on fait du sport, notre corps utilise beaucoup d’énergie. Parfois, on peut se sentir fatigué assez rapidement. C’est là que les BCAA peuvent aider.

Imaginez que votre cerveau a une sorte de « barrière » qui ne laisse passer que certaines choses. Lorsque vous faites de l’exercice, une substance nommée tryptophane veut entrer dans votre cerveau. Quand elle y parvient, elle peut vous faire sentir fatigué. Mais les BCAA sont comme des gardes à cette barrière. Ils aident à empêcher trop de tryptophane de passer, ce qui vous aide à vous sentir moins fatigué.

En réduisant la quantité de tryptophane qui entre dans le cerveau, les BCAA aident à maintenir votre niveau d’énergie. Cela signifie que vous pouvez vous entraîner plus longtemps et plus fort sans vous sentir épuisé trop vite.

Pour les sportifs, se sentir moins fatigué signifie qu’ils peuvent s’entraîner plus efficacement et améliorer leurs performances. Que vous soyez un coureur à pied, un nageur, un cycliste ou que vous pratiquiez tout autre type de sport, moins de fatigue peut vraiment faire une différence.

Amélioration des performances sportives

Les BCAA ne se contentent pas de soutenir la récupération et de réduire la fatigue; ils peuvent également améliorer les performances sportives de manière directe.

Effets sur l’Endurance

Des recherches suggèrent que les BCAA peuvent améliorer l’endurance en réduisant la dégradation des protéines pendant l’exercice et en soutenant la synthèse protéique. Cela est particulièrement bénéfique dans les sports d’endurance, où une gestion efficace de l’énergie et de la récupération musculaire est essentielle.

Bénéfices pour les sports de force

Dans les sports de force, les BCAA aident à maintenir la masse musculaire et à augmenter la force musculaire. La leucine, en particulier, est reconnue pour son rôle dans la promotion de la croissance musculaire, ce qui est crucial pour les athlètes cherchant à améliorer leur force et leur masse musculaire.

Quels sont les dosages recommandés ?

Tout d’abord, il faut savoir que le corps ne peut pas fabriquer de BCAA. La leucine, l’isoleucine et la valine font partie des 8 acides aminés dit « essentiels » qui doivent forcément être apportés par l’alimentation. Voici les besoins journaliers en protéines :

  • Le sportif a besoin de 1,4g de protéines /kg/jour
  • Une personne non sportive a besoin de 1g à 1,2 de protéines /kg/jour.

Les besoins en protéines chez les sportifs d’endurance doivent être jusqu’à 40% plus élevés que chez une personne non sportive

Il est recommandé de consommer entre 4 et 10g/jour de BCAA, le plus tôt possible après l’entraînement et idéalement en association avec des glucides et des protéines comme dans la BOISSON DE RECUPERATION ELITE OVERSTIM.s. En effet la consommation simultanée de protéines et de glucides permet une meilleure assimilation de ces deux nutriments.

Nous conseillons également de consommer des BCAA à raison de 1g par heure, dès le début de l’effort pour des sorties de très longues durées supérieures à 4 heures d’effort. Sont concernés par exemple les ultra trailers, les triathlètes à partir du format L ou encore les cyclistes roulant sur du 80-100Km minimum.

Les BCAA sont-ils considérés comme dopants ?

Non. Les BCAA ne sont absolument pas considérés comme produits dopants. Par ailleurs, l’ensemble des produits OVERSTIM.s sont certifiés par la norme AFNOR ANTI DOPAGE NF V94 001 qui garantit la conformité anti-dopage de tous les produits à la date de fabrication des lots.

Les BCAA sont-ils dangereux pour la santé ?

Non. Aucune étude à ce jour n’a montré d’effets indésirables avec la consommation de BCAA. Vous pouvez donc les consommer sans aucun risque.

Les BCAA sont toutefois déconseillés aux femmes enceintes et allaitantes.

energix bio spiruline

La Spiruline et le sportif, une petite algue aux grandes qualités

La Spiruline et le sportif, une petite algue aux grandes qualités

Par Manuel - OVERSTIM.s

La Spiruline est une micro-algue riche en protéines végétales (plus de 50%) qui est cultivée principalement en Inde et en Asie. Source de protéines, elle possède de nombreuses propriétés particulièrement adaptées au sportif. De par sa composition et sa richesse nutritionnelle, la Spiruline est considérée comme un des aliments le plus complet au monde par l’OMS.

Quel est l’intérêt de la Spiruline pour le sportif ?

La Spiruline est riche en protéines végétales affichant un profil complet d’acides aminés essentiels. Elle est composée des 8 acides aminés essentiels que le corps humain ne peut pas synthétiser et qui doivent forcément être apportés par l’alimentation. Les protéines apportées par la Spiruline sont donc complètes et parfaitement assimilables par l’organisme.

Les protéines sont les nutriments qui contribuent au développement et au maintien de la masse musculaire. Le système musculaire du sportif est mis à rude épreuve car il est  constamment renouvelé du fait de la contraction et du relâchement des fibres musculaires durant l’effort. Tandis qu’une personne non sportive aura besoin de 1g à 1,2g de protéines par kg de poids de corps par jour ; le sportif a lui besoin d’un minimum de 1,4g de protéines par kg de poids de corps par jour.

Spiruline et régime végétarien, le combo gagnant

La forme séchée de la Spiruline permet une utilisation pratique et efficace pendant et en dehors de vos repas.  Elle peut par exemple être utilisée après un entraînement ou durant une phase de préparation physique intense.

Cette micro algue 100% végétale est adaptée aux sportifs végétariens qui ont souvent du mal à combler leurs apports en protéines.

La Spiruline OVERSTIM.s

Il existe plus de 1500 espèces de Spirulines, OVERSTIM.s a sélectionné la Spirulina platensis (Gomont) Geitler pour ses propriétés nutritionnelles exceptionnelles.

Son utilisation peut se faire en cure de 10 jours, à raison de 6 gélules par jour à répartir sur les 3 principaux repas. Cette cure peut être renouvelée si nécessaire. Il n’y a pas de durée maximale d’utilisation de la Spiruline, elle peut donc s’intégrer à votre alimentation tout au long de l’année. La Spiruline est toutefois déconseillée aux femmes enceintes et allaitantes.

OVERSTIM.s intègre également de la Spiruline dans le nouveau GEL ENERGIX BIO spécialement conçu pour aussi bien pour vos entraînements que des efforts longue distance.

5 choses à savoir sur les barres protéinées

Par Manuel - OVERSTIM.s

Quelles sont les différences entre les barres protéinées et les barres énergétiques ? Quels sont leurs intérêts pour les sportifs ? Quand faut-il les consommer ?

1) Quelles sont les différences entre les barres protéinées et les barres énergétiques ?

Les barres énergétiques OVERSTIM.s sont une aide pour vos efforts intenses ou de longue durée. Leur richesse en glucides et en calories vous apporte une source d’énergie qui nourrit vos muscles pendant l’effort et qui vous aide à maintenir vos performances.

Les barres protéinées OVERSTIM.s sont quant à elles des barres enrichies en protéines animales (issues du lait) ou végétales. Elles offrent moins de glucides et de lipides que les barres énergétiques et sont plus utiles pour la récupération après un effort ou pour développer votre masse musculaire.

BARRES PROTÉINÉES VS BARRES ÉNERGÉTIQUES

Barres protéinées :

  • Plus de protéines
  • Moins de glucides et moins de calories
  • Pour le développement et le maintien de votre masse musculaire

Barre énergétiques :

  • Plus de glucides et de calories
  • Moins de protéines
  • Pour les efforts intenses ou de longue durée

5 Choses à savoir sur les barres protiénées

2) Quels sont les intérêts des barres protéinées pour le sportif ?

Les sportifs ont des besoins relativement élevés en protéines afin d’entretenir leurs muscles.

Les protéines sont essentielles pour les sportifs et doivent faire partie du quotidien. Nous l’évoquons plus largement dans notre article sur les protéines et leurs intérêts chez le sportif.

Les barres protéinées OVERSTIM.s sont une source de protéines de bonne qualité que vous pouvez emporter partout. Elles se consomment facilement après un entraînement et vous aident à maintenir ou développer votre masse musculaire.

Le côté gourmand des barres protéinées OVERSTIM.s vous aide aussi à vous faire plaisir sans vous priver !

3) Quand consommer une barre protéinée ?

Les barres protéinées OVERSTIM.s se consomment idéalement dans les 30 minutes qui suivent la fin de votre entraînement. En effet, après l’effort, le corps ouvre la « fenêtre métabolique » et assimile les nutriments de manière idéale pour bien récupérer.

Les barres protéinées peuvent également se consommer pendant un effort de longue durée (plus de 3 heures) pour leur côté rassasiant et gourmand : trail, randonnée, cyclo, triathlon…

Elles se consomment aussi lorsque vous cherchez à vous affuter (perdre du poids) avec une alimentation plus faible en calories et plus riche en protéines.

Enfin, si vous avez un métier physique et que vous êtes sportif, vous pouvez consommer une barre protéinée au goûter avec un fruit pour une collation adaptée à vos besoins.

5 Choses à savoir sur les barres protéinées

4) Quels sont les avantages des barres protéinées ?

Les avantages : 

  • Leur apport en protéines de hautes qualités
  • Elles sont adaptées à l’alimentation du sportif
  • Leur côté gourmand et équilibré
  • Pratiques, elles se transportent partout avec vous

5) Qu’attendez-vous pour goûter la barre protéinée OVERSTIM.s ?

La Barre Protéinée OVERSTIM.s contient plus de 25% de protéines

Comment bien choisir mes gels énergétiques ?

Quels sont les avantages des gels énergétiques pour le sportif ? Quand et comment bien les utiliser à l’effort ? Quels gels choisir pour ma pratique sportive ?

Quels sont les avantages des gels énergétiques ?

Les gels énergétiques peuvent être utilisés aussi bien à l’entraînement que le jour de votre épreuve. Ils sont conçus pour soutenir votre efficacité tout au long de l’effort ou dans les passages difficiles.

Les gels énergétiques OVERSTIM.s présentent de nombreux avantages :

  • Ils vous apportent une énergie rapidement assimilable (20g de glucides / gel) afin d’assurer le maintien de vos performances.
  • Ils contiennent des vitamines, des minéraux et du sodium afin de compenser vos pertes liées à la sueur.
  • Ils sont pratiques et faciles à utiliser en cours d’effort car leur texture liquide ne nécessite pas de mastication.
  • Ils ont un volume réduit et sont donc facilement transportables.
  • Ils sont sont parfaitement tolérés : sans conservateur, sans colorant.
  • Arômes 100% naturels pour plus de plaisir.

Quand devez-vous les consommer ?

Les gels énergétiques OVERSTIM.s se consomment :

  • Pendant un effort long pour un apport régulier d’énergie.
  • Quand la fatigue s’installe et que vous avez besoin d’énergie rapidement.
  • Quand l’intensité de l’effort est élevée et qu’il est difficile de mâcher un aliment solide (barre énergétique, etc…).
  • Quand le terrain ou le parcours ne permet que de petites périodes de temps pour apporter du carburant.

Comment bien utiliser les gels énergétiques ?

Découvrez nos 6 conseils pour bien utiliser vos gels énergétiques en cours d’effort :

  1. Les gels s’utilisent en cours d’effort à raison de 1 gel toutes les 45 minutes pour un apport régulier d’énergie.
  2. Ils se consomment par petites gorgées sur quelques centaines de mètres.
  3. Consommer votre gel avant un ravitaillement puis boire 1 à 2 bouches pleines d’eau pure une fois sur le ravitaillement.
  4. Pensez à tester vos gels à l’entraînement afin de mieux connaître leurs utilisations le jour de votre épreuve.
  5. Une fois consommé, le gel peut être refermé en retournant le bouchon.
  6. Pensez à la nature et conservez vos déchets afin de les mettre à la poubelle.

Comment choisir vos gels énergétiques OVERSTIM.s ?

OVERSTIM.s propose une gamme de gels énergétiques complète qui répond à tous vos besoins, quel que soit le sport pratiqué, sa durée et son intensité.

1 – Vous êtes sujet aux perturbations musculaires durant l’effort ?

Le gel antioxydant est spécifiquement formulé pour soutenir votre activité musculaire tout au long de votre pratique sportive. Son magnésium contribue au bon fonctionnement musculaire. Son efficacité est renforcée par des antioxydants (vitamine E et zinc) permettant de protéger les cellules contre le stress oxydatif et par de la vitamine B6 contribuant à réduire la fatigue.

2 – Vous recherchez un apport énergétique régulier tout au long de l’effort ?

Le gel énergétique Energix est spécifiquement formulé pour les pratiques sportives de longue distance telles que le marathon, le trail, le cyclisme, le VTT, le triathlon …

Il permet de maintenir votre efficacité tout au long de vos efforts de longue durée grâce à son apport en énergie progressive, ses BCAA et sa vitamine B6 contribuant à réduire la fatigue.
Il se consomme en cours d’effort à intervalles réguliers, toutes les 45 minutes, et répond à votre surconsommation momentanée de carburant.

Le gel Energix Miel BIO existe également en version BIO. Sa recette allie les pouvoirs du miel d’acacia, du curcuma et de la spiruline pour une efficacité sans faille.

3 – Vous avez besoin d’un coup de fouet lors des passages difficiles ou à l’approche de l’arrivée ?

Véritable concentré d’énergie instantanée, le gel énergétique Coup de fouet est votre meilleur allié en cours d’épreuve lors d’efforts intenses (difficultés, ascensions …) et à l’approche de l’arrivée.

Le gel énergétique Coup de fouet s’utilise à tout moment en cours d’épreuve pendant vos phases d’effort intense, pour prévenir une attaque et à l’approche de l’arrivée.

Le gel Red tonic, grâce à l’association de la caféine et du ginseng, sera votre allié pour des efforts extrêmes. Sa saveur menthe-eucalyptus vous apporte une fraîcheur intense pour un effet rafraîchissant très agréable dans les moments les plus difficiles.

 

Quelle nutrition sportive par temps chaud ?

Par Gilles Dorval – Entraîneur expert en course à pied

Sport et forte chaleur, comment bien s’hydrater et s’alimenter ? Quels sont les besoins du sportif par temps chaud ? Quelles sont les règles à suivre ?

Entrainez-vous à la « fraîche »

En cas de fortes chaleurs, programmez le maximum de séances d’entrainement tôt le matin ou tard le soir. Évitez toute pratique sportive entre midi et 16 heures, aux heures les plus chaudes de la journée. Pour la séance matinale, privilégiez les footings en endurance fondamentale (65-75% FCM).

Réservez le travail de fractionné court et intensif à l’entrainement du soir. Pour préserver la santé du coureur, beaucoup de courses estivales voient leur départ programmé à la tombée de la nuit.

Adaptez vos entraînements

Au-delà des 25°C à l’ombre, limitez les sorties longues, éprouvantes et le travail de fractionné long. Concentrez-vous sur l’endurance fondamentale et le fractionné court (séances de VMA courtes, séances de cotes courtes).  Éventuellement en fin de séance, pensez au renforcement musculaire au poids de corps à la fraîcheur de votre domicile.

Gardez toujours à l’esprit que par fortes températures, l’organisme voit ses capacités diminuées. Vouloir s’obstiner à maintenir ou à réaliser une séance éprouvante dans sa totalité peut contribuer à un épuisement prématuré. Vous risquez de passer par une période de méforme prolongée avec une augmentation du risque de blessures.

Savoir adapter le contenu des entraînements aux conditions météos fait partie des qualités d’un bon coureur.

Courez à l’ombre

Pour limiter les effets de la chaleur sur l’organisme, empruntez le maximum de parcours ombragés. Toute séance sur un stade baigné de soleil, aux heures les plus chaudes de la journée est à proscrire. Il ne faut pas confondre séance d’entrainement et séance de bronzage.

Pour les séances courtes et intensives (travail type VMA), cherchez un chemin plat et stabilisé pour limiter tout risque d’entorse. Vous pourrez fonctionner sous forme d’ « allers-retours ». Aucun souci si la portion trouvée ne permet pas de réaliser à la seconde près, les temps de travail préconisés par le plan. Soyez rassuré, ce petit décalage n’aura pas d’incidence négative sur l’efficacité de votre séance.

Optez pour la bonne tenue

L’évaporation de la sueur à la surface de la peau participe pleinement au maintien de la « bonne température » de l’organisme. Pour faciliter ce phénomène, choisissez une tenue ample, légère et aérée (short, tee-shirt ou débardeur technique).

En cas d’utilisation du débardeur, ne pas oublier de protéger les épaules contre les coups de soleil (crème solaire). L’idée de se munir d’une casquette de couleur claire peut être aussi pertinente. Celle-ci limitera les risques d’insolation et pourra être régulièrement humidifiée.

Buvez sans modération

L’évaporation de la sueur à la surface de la peau, mais aussi celle engendrée par la respiration, représente 80% du transfert de cette chaleur vers le monde extérieur. D’où l’extrême importance pour le coureur de maintenir un très bon niveau hydrique en cas de fortes températures et de porter des vêtements facilitant les échanges.

Buvez très régulièrement (0,75 à 1 litre par heure de course) pour réguler votre température. Cela permet au phénomène d’évaporation de jouer pleinement son rôle « climatiseur».

Une étude de D.L Costill et al 19705, (« fluid ingestion during distance running”) met en évidence la corrélation entre l’absorption de liquide pendant l’effort et le maintien d’une température corporelle correcte. Cette étude montre qu’au-delà de 45 minutes d’effort, des écarts de 1,5°C peuvent exister. Partant du constat qu’à 38,7°C le rendement de l’organisme est meilleur qu’à 40,2°C, le coureur trouve vite son intérêt à assurer une bonne hydratation avant, pendant et après l’effort.

Le conseil OVERSTIM.s

N’attendez pas d’avoir soif pour boire. Il est conseillé de boire 1 à 2 bouches pleines de boisson HYDRIXIR ANTIOXYDANT toutes les 5 à 10 minutes et cela dès le début de l’effort. En plus d’une hydratation optimale, la boisson HYDRIXIR ANTIOXYDANT vous apporte de l’énergie pour limiter les hypoglycémies ainsi que des vitamines et minéraux pour compenser les pertes accrues par la transpiration.

Le formule d’HYDRIXIR ANTIOXYDANT est beaucoup plus hydratante que de l’eau seule ou qu’une boisson de l’effort faite maison. Sa formule est spécifiquement établie pour correspondre aux besoins hydriques du sportif.

Les besoins en sodium chez le sportif - Overstim.s

Fortes chaleurs et boisson hypotonique

Sous de fortes chaleurs, vous pouvez rendre votre boisson HYDRIXIR ANTIOXYDANT hypotonique. Vous buvez plus lorsqu’il fait chaud mais que vous ne pouvez pas absorber plus de glucides pour autant. Vous pouvez donc mettre un peu moins de poudre dans votre bidon pour une même quantité d’eau : votre boisson devient hypotonique.

Fonctionnez à la FC

Fonctionner à la fréquence cardiaque – en dehors des séances de VMA – est un véritable indicateur du niveau d’activité de l’organisme. C’est le moyen le plus sûr pour éviter toute forme de surrégime et pour permettre au coureur de rester bien calé dans les zones physiologiques visées par la séance.

Pour rappel, voici les pourcentages de FCM (fréquence cardiaque maximale) préconisés :

  • Footing en endurance fondamentale : 65 à 75% FCM
  • Travail de fractionné à allure modérée : 80 à 90% FCM

Ne cherchez pas à battre vos records

Lorsque les températures extérieures s’élèvent, l’organisme se trouve alors confronté à une double contrainte

  1. Continuer d’apporter – via le sang – la quantité d’oxygène nécessaire au maintien d’une activité musculaire intense.
  2. Transférer vers l’extérieur la chaleur produite par l’activité musculaire et les différentes fonctions de l’organisme.

Le volume sanguin total d’un individu variant peu, plus la température interne s’élève et plus la quantité de sang disponible pour l’activité physique diminue. Et ce malgré une augmentation très significative de la fréquence cardiaque. Or un muscle moins oxygéné devient immédiatement moins performant dans un effort de longue durée.

Difficile donc de rester performant dans de telles conditions de course. Raisons pour lesquelles, lorsque les températures sont caniculaires, il est préférable de courir à la sensation et/ou se baser sur la FC, et non plus sur la vitesse de course. Attendez des jours plus propices à la performance pour tenter d’améliorer vos records.

Quels sont les besoins en sel chez le sportif d’endurance ?

Par Manuel - OVERSTIM.s

Quels sont ses rôles sur la longue distance ? Quelle quantité de sel dans votre boisson d’effort ? Comment le sel optimise l’hydratation et la performance ?

Quelle est la différence entre le sel et le sodium ?

Commençons par les bases : le sel alimentaire que vous utilisez en cuisine est aussi appelé chlorure de sodium. Sa formule est NaCl, il est donc composé de Chlorure (Cl) et de Sodium (Na). Le sodium est l’élément qui nous intéresse et 1 g de sel = 394 mg de sodium. Les besoins en Chlorure ne nous intéressent pas, c’est surtout le Sodium qui est important pour le sportif.

Quel sont les besoins en sel chez le sportif ?

Les pertes en sel par la transpiration peuvent être considérables (1). Un sujet modérément entraîné pratiquant 1 à 2 heures d’activité tous les 2-3 jours perd entre 1,8 et 3,6 g de Chlorure de Sodium (NaCl) lors de l’activité. Soit 710 mg à 1417 mg de Sodium par heure.

La plupart des eaux présentent naturellement un apport inférieur à 50 mg/L de sodium (2). On comprend donc que l’eau seule ne suffit pas à compenser les pertes en sodium lors des activités sportive d’endurance. Les pertes en sodium sont influencées par de nombreux paramètres.

Un apport moyen de 450 mg de sodium par litre d’eau est donc nécessaire pour compenser les pertes du sportif d’endurance.

Quels sont les rôles du sodium ?

Le sodium est un minéral essentiel à la vie. Il permet de réguler la répartition de l’eau entre les milieux intracellulaire et extracellulaire et donc votre état d’hydratation. Il faut savoir que l’eau corporelle passe toujours du milieu le moins concentré en sodium vers le milieu le plus concentré en sodium : c’est le phénomène d’osmose.

Si durant l’effort, les pertes en sel par la transpiration ne sont pas compensées, l’eau consommée ne pourra plus jouer son rôle d’hydratation. Des perturbations de l’équilibre hydrique pourront causer une hyponatrémie (déficit en sodium sanguin).

A contrario, une hyper-hydratation peut aussi causer ce phénomène d’hyponatrémie. Si l’on suit la même logique sur l’osmose : une surconsommation d’eau diluera le sodium présent dans l’organisme. Les cellules chercheront donc à absorber plus d’eau pour absorber plus de sodium et il y aura apparition d’œdèmes.

Quels sont les risques d’un manque de sodium lors de l’effort ?

Si les pertes en sel ne sont pas compensées lors d’un effort de longue durée ou par forte chaleur, cela peut donc entraîner l’apparition d’une hyponatrémie. Cette déficience en sodium sanguin peut avoir de nombreuses répercussions :

  • Accélération de la déshydratation par des phénomènes de réactions biochimiques et hormonales.
  • Déséquilibre électrolytique intra et extra cellulaire, apparition d’œdèmes.
  • Crampes, troubles musculaires.
  • Fatigue, déséquilibre, vertiges, céphalées, malaises.

Une hyponatrémie prononcée peut causer un coma voire la mort, par apparition d’œdèmes au niveau du cerveau. Une étude américaine a démontré que les athlètes ayant pris 4% de poids lors d’une course (œdèmes) ont 45% de risque d’être en hyponatrémie (3).

Etes-vous concernés par le risque d’hyponatrémie ?

L’hyponatrémie du sportif concerne les athlètes d’endurance, marathoniens et pratiquants d’épreuves plus longues supérieures à 4 heures (ultra trails, triathlons, ironman…). Cette pathologie ne concerne pas les sportifs de force ou de vitesse dont les efforts sont trop brefs (4, 5, 6, 7).

Sont principalement concernés :

  • Les sportifs lents prenant le temps de s’arrêter et de boire à tous les ravitaillements.
  • Les moins expérimentés, l’entraînement permettant de « mieux » transpirer et de diminuer les pertes en sodium par la transpiration.
  • Les sportifs de petit poids car une même quantité de boisson dilue leur sang plus rapidement.
  • Les femmes car leur poids est en moyenne plus bas et elles seraient plus consciencieuses favorisant ainsi l’hyper-hydratation.
  • Les athlètes buvant plus de 1.5 l d’eau par heure.
  • Les athlètes utilisant certains médicaments (anti-inflammatoires non stéroïdiens (aspirine, ibuprofène)).
  • Les conditions environnementales chaudes (et encore plus en cas d’humidité importante).
  • Les courses où les ravitaillements sont fréquents et abondants (par exemple tous les kilomètres).

Boissons, gels énergétiques « maison » et pastilles de sel

Eviter de consommer des pastilles et comprimés de sel. Premièrement car ils ne seront pas absorbées correctement du fait d’un apport en une seule prise trop importante pouvant créer des troubles digestifs, nausées et vomissement. Deuxièmement car le goût saumâtre d’une boisson trop salée peut freiner la prise de boisson et empêcher une hydratation régulière durant l’effort.

Soyez vigilant quant aux recettes de boissons et gels « fait maison » car les dosages souvent recommandés comme « 1 cuillère à café de sel par litre ou par bidon » sont beaucoup trop importants. 1 Cuillère à café rase de sel apporte 5 grammes de sel et donc près de 2000 mg de sodium par litre, soit 4 fois plus que les recommandations.

Nos conseils afin d’éviter l’hyper-hydratation et l’hyponatrémie

  • Boire sans excès : 1 à 2 bouchées pleines toutes les 5 à 10 minutes et ne pas boire trop d’un coup.
  • Ne pas trop boire la veille ou les heures précédent votre effort de longue durée. 500 mL maximum dans l’heure précédent la course.
  • Ne pas boire à tous les ravitaillements si vous avez déjà votre boisson.
  • Préférer une boisson de l’effort apportant du sodium (idéalement 460 mg de sodium par litre), et isotonique. Elle permettra de limiter le risque d’apparition de l’hyponatrémie.

Le sel est donc primordial chez le sportif d’endurance. Il doit être ajusté non seulement durant les compétitions mais aussi pendant les entraînements de longue distance en prévention de l’hyponatrémie.

Les boissons énergétiques pour sportifs sont tout à fait conseillées car elles apportent non seulement la quantité idéale de sodium soit 450 mg par litre mais ont aussi l’avantage d’être isotoniques afin de limiter l’apparition de troubles digestifs.

Notes et références :

Comprendre l’index glycémique et la charge glycémique

Par Manuel OVERSTIM.s

Comment l’index glycémique des aliments peut vous aider à améliorer vos performances ? Qu’est-ce que la charge glycémique ? Quels aliments faut-il choisir ?

L’index glycémique, qu’est-ce que c’est ?

L’Index Glycémique (1) ou IG représente la capacité d’un aliment glucidique à faire évoluer la glycémie (le taux de glucose sanguin) dans les 2 heures après ingestion. Nous allons décrypter cette notion et vous apprendre à maîtriser l’index glycémique et la charge glycémique (2) des aliments pour améliorer vos performances.

Comment sont classés les index glycémiques des aliments ?

Les aliments pourvus d’un IG bas (<55) permettent un meilleur étalement de la glycémie dans le temps, ils ne provoqueront qu’un petit pic de glycémie. A contrario, les aliments ayant un IG élevé (>70) provoqueront un pic de glycémie important.

Les IG sont basés sur l’indice de référence du glucose ou du pain blanc (baguette)  qui est de 100. L’ancienne notion de « sucres rapides » et « sucres lents » est aujourd’hui obsolète. La pomme de terre considérée autre fois comme sucre lent possède un index glycémique élevé, voire très élevé selon son mode de préparation (purée déshydratée). A contrario le fructose (petite molécule de sucre) possède un IG faible égal à 20.

Les aliments ultra-transformés ont des index glycémiques très élevés

L’importance de surveiller l’index glycémique des aliments

  1. Surveiller l’index glycémique pour l’insuline

L’insuline est la seule hormone du corps humain ayant le pouvoir de faire diminuer la glycémie. Elle est sécrétée par le pancréas lorsque la glycémie augmente. L’action principale de l’insuline est donc de diminuer la glycémie en activant le stockage du glucose sanguin sous deux formes :

  • Soit sous forme de glycogène (plus d’informations sur le glycogène dans notre article dédié) dans les muscles et le foie afin de fournir de l’énergie pour un exercice physique ou pour renflouer les réserves énergétiques après un effort. Dans le cas d’une personne active (sportif).
  • Soit sous forme de graisses dans les cellules adipeuses en cas d’inactivité (ou de surconsommation).

On comprend donc que les personnes consommant des aliments à IG élevés et pratiquant peu d’activité auront un risque accru de développer un surpoids voire une obésité (3).

  1. Surveiller l’index glycémique pour la glycémie

La glycémie correspond au taux de glucose sanguin. Chez une personne en bonne santé, elle varie autour de 1 g/L.

Le glucose est le carburant favori de nos cellules. Pour les cellules nerveuses et les globules rouges, c’est la seule source d’énergie utilisable. Le glucose est donc indispensable au bon fonctionnement du cerveau et des muscles.

La glycémie est régulée par deux hormones produites par le pancréas, l’insuline dont nous avons déjà parlé et son antagoniste : le glucagon.

  • L’insuline fait donc diminuer la glycémie. Elle a un rôle hypoglycémiant.
  • Le glucagon à l’inverse, favorise la libération de glucose dans le sang et a un rôle hyperglycémiant.

L’alternance des 2 mécanismes permet de maintenir une glycémie proche de 1 g/L ainsi qu’un apport continu en glucose pour les cellules qui en dépendent (muscles, cerveau…).

La prise régulière d’aliments à index glycémique élevés chez une personne pratiquant peu d’activité physique peu avoir de lourdes conséquences sur le long terme. Des perturbations de la glycémie et une baisse de la sensibilité des cellules à l’insuline, l’apparition d’un diabète de type II, de cancers ou de maladies cardio-vasculaires (3).

Quelle est l’intérêt de l’index glycémique pour le sportif ?

Pour le sportif en endurance, la connaissance de l’IG des aliments est primordiale. En effet, cette notion permet de mieux gérer votre apport énergétique avant, pendant et après l’effort. Voici les règles à respecter :

  • Choisir des glucides à IG bas pendant vos repas et avant une épreuve. Ils contribueront à la recharge des réserves glucidiques sous forme de glycogène dans les muscles et le foie. Vous partez ainsi avec un maximum de carburant stocké mis en réserve.

Au contraire, les glucides consommés pendant l’effort où pendant la récupération doivent avoir un IG moyen et/ou élevé, l’objectif étant alors un apport rapide en glucose pour fournir de l’énergie aux muscles en action.

Mieux maîtriser les IG avec les 6 facteurs influençant l’IG des aliments

1. En règle générale, plus l’aliment a subi de transformations, plus l’IG est élevé. ► Conséquence : les céréales raffinées ont un IG plus élevé que les céréales complètes ; le riz blanc a un IG plus élevé que le riz complet.

2. Le type de glucide présent dans l’aliment influence l’IG. ► Exemple : Le fructose a un IG de 20 bien inférieur au sucre de table (70) et au glucose (100).

3. Une texture solide sera moins bien absorbée qu’une texture liquide. ► Conséquence : La purée de pomme de terre a un IG plus élevé que la pomme de terre vapeur.

4. La cuisson associée à l’humidité gélatinise l’amidon et augmente de ce fait l’IG. ► Conséquence : Les pâtes trop cuites auront un IG plus élevé qu’une cuisson al dente.

5. La présence d’autres nutriments (protéines, lipides) diminue l’IG de l’aliment ► Conséquence : Les aliments riches en lipides ont un IG bas. Ajouter de l’huile d’olive, de la tomate et du bœuf haché à vos pâtes permet d’en diminuer l’IG.

6. La présence de fibres diminue l’IG des aliments. Conséquence : diminution du temps de transit de l’aliment dans le tube digestif, sa digestion est donc plus rapide, il a moins de temps pour libérer les glucides qui le composent et l’IG est diminué.

L’index glycémique c’est bien, la charge glycémique c’est mieux !

L’index glycémique nous révèle la qualité des glucides d’un aliment ainsi que son impact sur la glycémie.

La charge glycémique quant à elle reflétera plus la réalité de terrain (ou plutôt de l’assiette) : elle tient compte de l’IG mais aussi de la portion d’aliment glucidique ingéré.

CG = [IG x quantité de glucides d’une portion d’aliment (g)] /100

Prenons deux exemples :

  • 200g de carottes cuites apportent 10g de glucides et ont un IG de 49. Leur charge glycémique sera de CG = [49 x 10]/100 soit CG = 4,9. La charge glycémique est donc basse <10.
  • 100g de baguette courante française apporte 56.6g de glucides avec un IG de 70. La charge glycémique sera de CG = [70 x 56,6]/100 soit CG = 39,62. La charge glycémique est donc très élevée >> 20

Pour image : il faudrait alors manger 1,6 kg de carotte pour atteindre la charge glycémique de 100g de baguette courante française !

La différence entre l’IG des carottes et de la baguette n’est que de 70-49 = 21 mais la différence entre les charges glycémiques est proportionnellement bien plus importante !

Graphique des courbes charges glycémiques issue de Sophie Diététique 

Comment s’y retrouver dans la vie de tous les jours ?

Tout d’abord, pour connaître l’index glycémique d’un aliment il y a un outil très facile d’utilisation qui est la balance à index glycémique proposée par le site diabete.fr (4).

Pour avoir une idée de la charge glycémique d’un aliment il suffit ensuite de regarder la quantité de glucides que possède un aliment, et cette information se trouve sur l’emballage.

Les lignes de l’emballage qui nous intéressent sont « Glucides » et « Dont sucres ».

De manière générale, si un aliment contient peu de glucides pour 100g (moins de 5g/100g) il n’est pas nécessaire de tenir compte de sa charge glycémique, elle sera la plupart du temps faible.

Afin d’encore mieux illustrer l’intérêt de la CG par rapport à l’IG, prenons à nouveau un exemple :

Le yaourt nature contient 5g de sucre pour 100g avec un IG de 36. Un pot pèse 125g et contient donc 6,25g de sucre.

  •  Sa charge glycémique sera de CG = [36 x 6,25]/100 soit CG = 2,25.

Un yaourt aromatisé sucré (chocolat, caramel, fraise…) contient environ 13,6g de sucre pour 100g avec un IG de 33 (plus faible que celui du yaourt nature !). Un pot pèse 125g et contient donc 17g de sucre.

  • Sa charge glycémique sera de CG = [33 x 17]/100 soit CG = 5,61. 2,5 fois plus élevée que pour le yaourt nature !

Les conseils aux sportifs

Les notions d’IG et de CG sont très intéressantes mais pas toujours simples à utiliser dans la vie de tous les jours, cela demande du temps et de la pratique afin d’être autonome sur les aliments à favoriser et ceux à limiter.

Sportifs, retenez qu’en dehors de l’entraînement, il faut favoriser les aliments à IG et CG faible tandis que pendant les entraînements mieux vaut consommer ceux à IG et CG moyen à élevés.

Notes et références :

L’importance de l’hydratation sur la performance sportive

Comment bien s’hydrater ? Quelles sont les meilleurs boissons hydratantes pour sportif ? Comment gérer sa fréquence d’hydratation ? Quels sont vos besoins ?

Quels sont vos besoins hydriques journaliers ?

Les pertes en eau subies quotidiennement (eau, urine) doivent être compensées par des apports suffisants et réguliers. Le corps humain a besoin en moyenne chaque jour de 35g d’eau / kilo de poids corporel, ce qui correspond à un volume d’eau variant entre 2,5 et 3 litres par jour.

Pourquoi ce besoin hydrique est-il vital au quotidien ?

L’eau représente entre 60 et 70% de notre poids corporel. Les fluides corporels jouent un rôle de transport des éléments nutritifs essentiels à la production d’énergie (sang) et l’élimination des déchets (urine, sueur).

L’alimentation contribue à répondre aux besoins hydriques de l’organisme et représente entre un tiers et la moitié des apports journaliers. Mais la principale source d’apports reste les boissons (eau, thé, café).

Le sportif doit boire plus

Lors d’une activité physique, vos besoins hydriques sont supérieurs à vos besoins « au repos » quotidiens. Et chez le sportif, la problématique de l’hydratation ne se réduit pas seulement à la phase d’exercice physique, l’hydratation avant et après la phase d’effort est tout aussi importante.

Les besoins hydriques pour le sportif s’élèvent en moyenne à 40 g / kilo de poids corporel. Cela correspond à un volume de boisson variant entre 3,1 et 3,5 litres par jour. Toutefois, il ne s’agit que de moyennes et les besoins hydriques réels dépendent de la personne, du sport pratiqué et de l’intensité de l’effort.

L’hydratation est un geste essentiel du sportif – Overstim.s

Pourquoi l’hydratation est un geste essentiel pour le sportif ?

Pendant un effort, les pertes hydriques sont importantes et les besoins en eau du sportif augmentent.

L’activité sportive fait travailler les muscles. Or, qui dit travail, dit besoin d’énergie et perte sous forme de chaleur. La transpiration est un mécanisme naturel qui permet la régulation thermique du corps. En moyenne, les pertes d’eau peuvent varier entre 0,5 et 2,5 litres par heure.

Les conditions climatiques, chaleur, humidité, peuvent également amplifier la déshydratation.

Quelle est l’importance de l’hydratation pour la performance ?

Une déshydratation mineure de 1% de perte d’eau du poids du corps représente une baisse de 10% des performances sportives !

Lorsque la perte d’eau s’élève à 4%, la baisse de performance peut varier entre 40 et 60%. Elle évolue en fonction de la température environnante. Plus il fait chaud, plus la performance diminue.

En outre, une déshydratation peut même avoir des conséquences sur la santé du sportif :

  • altération des capacités intellectuelles
  • vertiges
  • perturbations musculaires et tendineux (claquages, élongations, contractures)
  • problèmes digestifs
  • troubles cardiaques
  • coup de chaleur pendant l’exercice

L’hydratation a donc une importance capitale dans le maintien des performances lorsqu’on pratique une activité sportive d’endurance.

Les boissons énergétiques Overstim.s sont spécifiquement étudiées pour une hydratation optimale

Quelles sont les principales règles d’une bonne hydratation ?

Voici les principales règles pour prévenir la déshydratation et maintenir vos performances en cours d’effort :

  • Boire dès le début de l’effort puis régulièrement toutes les 5 à 10 minutes et par petite quantité 1 ou 2 bouches pleines à chaque fois (5 à 10 cl). C’est la meilleure manière d’optimiser votre réhydratation
  • Votre boisson de l’effort doit contenir du sodium (sel) et des minéraux, les cellules musculaires sont ainsi mieux hydratées.
  • Votre boisson de l’effort doit avoir un pH neutre, proche de 7, le liquide contenu dans l’estomac parvient ainsi plus vite aux muscles.
  • Pour les efforts de plus d’1h30, votre boisson doit apporter de l’énergie sous forme de glucides.

Découvrez les 6 règles d’or d’une bonne hydratation sur notre article dédié !

Comment choisir la boisson adaptée à votre pratique ?

  • Pour un effort ne dépassant pas une 1h30 ou par forte chaleur, la Boisson électrolytes (zéro calorie) OVERSTIM.s permet de compenser vos pertes en sodium et minéraux liées à la transpiration.
  • Pour un effort supérieur à 1h30, il est recommandé de se diriger vers les Boissons énergétiques OVERSTIM.s. Ces boissons de l’effort sont conçues pour apporter au corps ce qu’il perd au cours de l’effort : de l’eau, de l’énergie sous forme de glucides, des vitamines et des minéraux indispensables au bon fonctionnement de l’organisme.
  • Après l’effort, le sportif entre en phase de récupération. Il doit continuer à bien s’hydrater pour compenser les pertes en eau et minéraux. Il doit également refaire son stock de glycogène avec des glucides et se régénérer musculairement avec des protéines. La Boisson de récupération OVERSTIM.s apporte tous ces éléments au sportif.

La bonne gestion de l’équilibre hydrique est l’une des clés de la performance sportive mais également du bon maintien de forme tout au long d’une saison.

Les 6 règles d’or d’une bonne hydratation

Comment bien s’hydrater en courant, nageant ou pédalant ? Quelles sont les erreurs à éviter ? Quelle boisson énergétique est la mieux adaptée aux sportifs ? Les défaillances les plus courantes trouvent leur origine dans des apports hydriques et énergétiques insuffisants ou inadaptés ! Bien s’hydrater passe par quelques règles simples à maîtriser afin d’optimiser vos apports hydriques.

1

Ne jamais boire plus de 10cl à la fois

Plus grande est la quantité de liquide absorbée en une seule fois, plus long est le temps nécessaire à la vidange gastrique et moins efficace est la réhydratation. Pour bien assimiler, buvez une ou deux bouches pleines à chaque fois (5 à 10cl).

2

Boire dès le début de l’effort

La déshydratation commence avant même le départ (stress). En moins d’une heure, vous pouvez perdre jusqu’à 1 litre d’eau… et vos aptitudes physiques seront considérablement réduites  ! N’attendez donc pas et absorbez votre première gorgée au plus vite car une déshydratation peut rapidement s’installer.

3

Boire le plus régulièrement possible

Apprenez à boire régulièrement et de façon d’autant plus rapprochée que la température est élevée. Idéalement buvez une bouche pleine toutes les 5 minutes. Ne dépassez pas 10 minutes même par temps frais.

4

Apprendre à boire à l’entraînement

Vos entraînements seront de meilleure qualité et vous récupérerez mieux ! Il faut beaucoup de temps pour bien maîtriser un apport hydrique rationnel, cela s’apprend à l’entraînement.

5

Choisir la boisson la mieux adaptée à ses besoins

Les boissons OVERSTIM.s ne sont pas que de simples boissons de l’effort. Les associations de glucides, protéines, vitamines et minéraux utilisées dans nos boissons répondent avec précision aux besoins des sportifs en fonction du sport pratiqué, de sa durée et de son intensité.

Suivez nos conseils pour choisir vos boissons, c’est votre meilleure garantie d’un choix approprié à vos besoins.

  • Pour une bonne hydratation et le maintien de vos performances en compétition comme à l’entraînement :

6

Garder l’eau pure pour s’asperger ou se rincer la bouche

En cours d’effort, l’eau pure n’apporte pas d’énergie et favorise la fuite des minéraux en particulier le sodium. La transpiration s’accélère et la soif incite à absorber des quantités de plus en plus grandes d’eau. Cette surconsommation va encombrer les organes digestifs sans compenser la déshydratation et en rendant inopérant tout apport énergétique. La consommation d’eau pure doit rester exceptionnelle et n’est acceptable qu’à condition d’absorber simultanément un gel pour compenser les pertes énergétiques.

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